• Cette vue splendide attend les randonneurs au début de l’excursion à raquettes. (Photo: Vera In-Albon)

    Cette vue splendide attend les randonneurs au début de l’excursion à raquettes. (Photo: Vera In-Albon).

  • Il faut d’abord se faufiler entre les arbres. (Photo: Vera In-Albon)

    Il faut d’abord se faufiler entre les arbres. (Photo: Vera In-Albon).

  • On mesure sa chance de pouvoir passer la journée au-dessus du brouillard. (Photo: Vera In-Albon)

    On mesure sa chance de pouvoir passer la journée au-dessus du brouillard. (Photo: Vera In-Albon).

  • Les sapins enneigés se présentent sous leur meilleur jour le long de cette randonnée. (Photo: Vera In-Albon)

    Les sapins enneigés se présentent sous leur meilleur jour le long de cette randonnée. (Photo: Vera In-Albon).

  • Une petite ascension rapidement négociée. (Photo: Vera In-Albon)

    Une petite ascension rapidement négociée. (Photo: Vera In-Albon).

  • Un passage sous les branches. (Photo: Vera In-Albon)

    Un passage sous les branches. (Photo: Vera In-Albon).

  • Les deux chemins vont bientôt se séparer. (Photo: Vera In-Albon)

    Les deux chemins vont bientôt se séparer. (Photo: Vera In-Albon).

    Atzmännig SSA — Atzmännig, Schutt • SG

    Toute la journée dans la neige

    Le télésiège amène tranquillement les randonneurs à la station de montagne. Là-haut se trouve le point de départ des deux chemins de randonnée à raquettes du domaine d’Atzmännig. Mais avant de commencer, c’est l’occasion pour les personnes en manque de vitamine D d’admirer la vue sur les Alpes et sur la mer de brouillard qu’elles viennent de traverser. Le chemin balisé débute derrière le télésiège, il commence par descendre un petit bout, puis monte en se faufilant entre les sapins. On peut admirer l’alignement du Rigi, des Churfirsten, du Säntis et des montagnes autrichiennes. Cet itinéraire panoramique longe la forêt jusqu’à une large crête avant d’arriver dans une grande clairière. C’est là, à Hinteren Rotstein, que les deux chemins se séparent: le chemin le plus long, qui part à droite, continue de monter et passe ensuite par Chrüzegg et Oberchamm. L’autre chemin, qui part à gauche, descend assez abruptement, c’est l’occasion parfaite d’accélérer le rythme et de traverser en courant les tourbillons de neige. On effectue quelques incursions dans la forêt avant d’apercevoir un splendide feuillu, seul mais majestueux, au milieu de la neige. Hinteraltschwand et le restaurant Altschwand ne se situent plus qu’à deux minutes. Le chemin de randonnée à raquettes continue de l’autre côté de la route, sur environ 600 mètres, dans la neige profonde. Puis l’on traverse à nouveau la route, qu’il faudra suivre sur 200 mètres. Selon les conditions d’enneigement, il vaut mieux enlever les raquettes. Mais pas pour longtemps, car on les remet à Mittelaltschwand, à la hauteur de la vieille maison sur la droite. Le chemin longe sur de la neige vierge la route peu fréquentée jusqu’à la station inférieure d’Atzmännig. Les randonneurs qui ont encore suffisamment d’énergie peuvent prendre la piste de luge ou faire quelques descentes à ski.

    Information

    Randonnée n° 1122

    Publié sur 2017 ‒ Présenté par Suisse Rando

    Vera In-Albon

    Parcours de la randonnée

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    Atzmännig SSA
    0:00
    0:00
    Schwammegg
    0:25
    0:25
    Hinterer Rotstein
    0:30
    0:05
    Hinteraltschwand
    1:05
    0:35
    restaurant
    Mittelaltschwand
    1:15
    0:10
    Atzmännig, Schutt
    1:40
    0:25

    Propositions de randonnées

    Les Franches-Montagnes en hiver N° 2114
    Les Breuleux • JU

    Les Franches-Montagnes en hiver

    Cette randonnée en raquettes traverse des pâturages boisés jurassiens sur de légers dénivelés. Ce paysage cultivé typique des Franches-Montagnes offre une alternance de bosquets et d’herbages, parsemés de sapins solitaires et imposants qui, l’été, donnent de l’ombre aux animaux. Les pâturages boisés sont en général des propriétés collectives où les paysans mènent librement leurs vaches et chevaux en été. Ces pâturages traversés lors de la randonnée au sud des Breuleux ne pourraient être plus beaux. Pas la moindre ferme ou hameau, mais un vaste et beau paysage hivernal. En chemin, on passe près des éoliennes du Mont-Crosin, que l’on voit et entend de loin. Et voici aussi la petite station de ski du village des Breuleux, avec sa buvette, où l’on peut s’arrêter pour regarder les enfants faire de la luge et skier dans la bonne humeur. Le tout sans bruyants haut-parleurs! La moitié de la randonnée est derrière soi. La deuxième partie de l’itinéraire de raquettes passe à nouveau par des pâturages boisés. Cette fois, ils sont parsemés de nombreuses dolines, clôturées par des lattes de bois qui évitent aux animaux de se blesser. Après une dernière brève montée, on arrive à l’orée du village des Breuleux.
    En raquettes le long de la Reuss de Göschenen N° 2039
    Göschenen • UR

    En raquettes le long de la Reuss de Göschenen

    Göschenen est un village dont on parle à nouveau. Lors de la construction du tunnel ferroviaire du Gothard, c’est ici que vivaient les ouvriers, tant bien que mal. On découvre leur histoire sur un chemin qui traverse le village. De 1970 à 1980, on construisit le premier tube pour les voitures et là, jusqu’en 2029, c’est au tour du second. Ce village du Gothard est marqué par le trafic transalpin. La région compte aussi, sous le Dammastock, des rochers de granit visibles depuis le village, très appréciés des grimpeurs. Une courte randonnée en raquettes mène dans leur direction depuis Göschenen, le long de la Reuss de Göschenen, jusqu’au hameau d’Abfrutt, puis, de manière surprenante pour un tour en raquettes, par une forêt d’éboulis pour revenir à Göschenen. Le long du chemin, avec de la chance, on verra des formations de glace sur l’eau et les rochers. Dans le ruisseau, de la glace recouvre des pierres, de longs glaçons pendent sur les parois. Sur ce versant nord, il fait froid, c’est vraiment l’hiver. De la gare de Göschenen, on part vers le village et le pont sur la Reuss, où s’ouvre la vallée de Göscheneralp. Pas besoin de traverser le pont, il suffit de suivre la Ringstrasse en passant devant la centrale électrique de Göschenen. Après quelques centaines de mètres, juste avant un autre pont, voici le point de départ du sentier de raquettes, qui monte vers Bitzi. Sur la rive opposée, on voit les maisons d’Abfrutt, puis l’église et l’ancienne école. Ici, le chemin fait un virage en épingle, descend vers la vallée et s’enfonce dans la forêt. Parfois, il vaut mieux poursuivre sans raquettes car dans cette forêt d’éboulis, on marche entre des blocs de granit. Peu après, on suit un chemin qui, en été, mène tout droit à Göschenen. Mais la piste de raquettes change de direction, part dans la vallée sur près de 200 mètres et rejoint peu après la trace de la montée.
    Raquettes printanières au Simplon N° 1957
    Simplon, Monte Leone • VS

    Raquettes printanières au Simplon

    Il avait 23 ans et écrivit l’histoire des héros du Simplon. Le Péruvien Géo Chávez fut le premier à survoler les Alpes. Le 23 septembre 1910, à bord de son Blériot, il franchit le col situé à 2006 m entre Brigue et Domodossola, ville du nord de l’Italie, et fut victime d’un accident si grave à l’atterrissage qu’il décéda quatre jours plus tard. Son vol entra dans l’histoire, à l’instar de bien d’autres événements survenus au col, comme la poste du Simplon qui, à son apogée au milieu du XIXe siècle, transportait chaque année 28 000 voyageurs en diligence. Ou encore le tunnel du Simplon, d’une longueur de 19,8 km, ouvert en 1906. Il était alors le plus long tunnel ferroviaire du monde. Grâce à celui-ci, le légendaire Simplon-Orient-Express, qui reliait Paris à Istanbul, passait par la Suisse. Jusqu’au printemps, il est possible de randonner en raquettes sur ce col chargé d’histoire en empruntant un circuit parfaitement balisé. Il débute à l’hôtel Monte Leone et se dirige d’abord vers l’imposant aigle de pierre. Il rend hommage à la brigade frontière 11, qui surveilla la frontière avec l’Italie pendant la Seconde Guerre mondiale. De l’autre côté de la route, on aperçoit l’hospice du Simplon. En 1801, Napoléon fit construire ce bâtiment ainsi que la première route carrossable traversant les Alpes. Peu après, on plonge dans l’impressionnant paysage naturel du vaste plateau du col. Après une joyeuse succession de montées et de descentes, on arrive au lac Hopschusee, caché sous la neige. On peut ensuite apercevoir au loin l’ancien hospice, qui remonte au temps du marchand Kaspar Stockalper. Juste avant la fin du circuit se trouve une courte pente raide avec un passage rocheux. Si la neige fraîche est abondante, il convient d’être attentif aux éventuelles coulées de neige. Après une heure et demie de randonnée, on retrouve l’hôtel Monte Leone et sa terrasse ensoleillée, où il fait bon attendre le prochain car postal.
    De St-Blaise à Le Landeron N° 1206
    St-Blaise — Le Landeron • NE

    De St-Blaise à Le Landeron

    Les vignobles font un tout, avec leurs vignes et leurs villages au caractère bien typé. Cette randonnée de Saint-Blaise au Landeron en donne la preuve. Elle débute sur les hauteurs de Saint-Blaise, à la gare CFF, l’une des deux stations de chemin de fer de cette localité attenante à Neuchâtel, mais qui a gardé un charme viticole. Après une vue - la première et la dernière - sur le lac de Neuchâtel, le chemin pénètre dans une forêt. Il se transforme peu à peu en sentier. Ça monte un peu, ça descend aussi. L’Entre-deux-Lacs est perceptible entre les arbres. Bien plat, cet espace était destiné, il y a quelques décennies, à devenir un important pôle de développement régional… A Cornaux, on emprunte la rue des Fontaines bordée d’un bel ensemble de maisons du 18e siècle. A la sortie du village, l’itinéraire longe les vignes. Juste avant Cressier, apparaît, comme par enchantement, le château Jeanjaquet. Cette belle demeure privée, de style néo-gothique, a été bâtie en 1872 sur un site dont l’origine remonte à l’époque romaine. Un peu plus loin, Cressier se distingue par ses maisons en pierres jaunes d’Hauterive et son château érigé vers 1610. Ici, comme dans les localités situées le long de cette randonnée, les caveaux de dégustation de vin ne manquent pas. Une montée, bien raide, conduit alors à Combes d’où l’on découvre, perchée sur un promontoire, une chapelle du 17e siècle et le lac Bienne. Les vignes accompagnent le randonneur jusqu’au Landeron, terme de la balade. Si l’envie est là, on peut encore visiter le bourg du Landeron qui se trouve à 800 m. au sud de la gare.

    Produits assortis de notre boutique

    226T Rapperswil

    CHF 22.50

    Mots-clés

    St. Gallen Suisse du Nord-Est Randonnée en raquettes à neige Hiver Randonnée de l'après-midi Pour les familles moyen

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